Un article de Fraternité Matin se penche sur le conflit opposant la Société Internationale de Plantations et de Finance - Côte d’Ivoire (SIPEF-CI) et des villages riverains des terres qu’exploite cette société agro-industrielle (plus de 3200 ha).
Depuis plusieurs mois, plus de 300 ha de palmeraie auraient été saccagés par les habitants de ces villages « pour empêcher ainsi la SIPEF-CI de continuer à exploiter les terres qui, en réalité, nous ont été prises sans notre consentement par les pouvoirs publics depuis 1974 » soutient M. Toualy Abou, président du comité ad hoc mis sur pied pour négocier avec la SIPEF-CI.