De plus en plus, les droits fonciers des femmes sont considérés comme importants pour des raisons d’équité et d’efficience économique.
Peu de travaux empiriques ont analysé la question suivante : est-il préférable pour les femmes d’avoir des droits fonciers individuels ou des droits communs avec leur mari ?
Cet article de 36 pages de l’IFPRI explore, avec des données provenant de l’Inde, du Mali, du Malawi et de la Tanzanie, la relation entre le type de droits fonciers (individuel / commun avec le conjoint) que détient la femme et son niveau de participation dans la prise de décision des ménages.
Dans les trois pays africains, les femmes ayant des droits fonciers individuels participent davantage à la prise de décision des ménages. Aucune relation similaire n’est trouvée dans le cas indien.
En savoir plus sur le site de l’IFPRI et accéder à l’article (en anglais).
Veille : Commission de l’UEMOA - Support technique : Hub Rural
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