Une étude récente réalisée par la Ghana Integrity Initiative a révélé qu’un Ghanéen sur 3 déclarait avoir été récemment confronté à au moins une tentative de corruption lors d’une démarche relative au foncier, que ce soit dans un cadre formel ou informel.
Les hommes sont autant touchés que les femmes par ce phénomène. Cependant, les femmes le sont principalement lorsqu’elles essaient de défendre leurs droits fonciers, alors que les hommes le sont lorsqu’ils tentent de renforcer leur sécurité foncière ou d’accélérer une transaction foncière.
Ce post de blog reprend les principaux autres points saillants de cette étude.
Lien : Land Portal, 30/11/16, Land corruption eroding women’s rights in Ghana
Veille : Commission de l’UEMOA - Support technique : Hub Rural
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