L’auteur de cet article (un conférencier de l’université d’Aberdeen) a étudié pendant 3 ans un projet de production de bioénergies développé sur 40.000 ha en Sierra Leone.
Selon lui, les études sur les accaparements des terres pointent souvent du doigt les sociétés qui tirent profit de ces projets, sans tenir compte du rôle des banques de développement qui les financent.
Les porteurs du projet qu’il a étudié avaient de bonnes intentions en termes de retombées positives pour les communautés locales et le développement du pays. Mais les pressions exercées par les banques de développement les ont contraint à mettre de côté ces objectifs.
Lien : The Conversation, 08/01/16, How a project with good aims delivered bitter outcomes in Sierra Leone
Veille : Commission de l’UEMOA - Support technique : Hub Rural