Oxfam a demandé à la Banque mondiale d’adopter un gel de ses investissements qui impliquent des acquisitions de terres à grande échelle, et ce pendant six mois, le temps de revoir ses politiques et pratiques afin d’empêcher les accaparements de terres. La Banque mondiale avait répondu qu’elle partageait les inquiétudes d’Oxfam tout en refusant d’appliquer le moratoire. Voir notre ’actu’ sur le sujet :
"Notre terre, notre vie" : nouveau rapport d’Oxfam ; la Banque mondiale, pointée du doigt, présente sa "véritable position" (13 liens) (10/10/12).
La responsable de l’équipe en charge des questions de justice économique d’Oxfam a publié un billet sur son blog hébergé par Oxfam pour répondre à certains arguments avancés par la Banque mondiale.
Lien : Oxfam, 08/11/12, Pourquoi la Banque mondiale fait fausse route (jusqu’à maintenant) sur les transactions foncières à grande échelle
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