De nombreux exploitants agricoles se sont installés dans des forêts protégées pour y développer des plantations de caféiers et de cacaoyers dans l’Ouest de la Côte d’Ivoire.
Cela s’est produit notamment durant les périodes de crise qu’a traversées ce pays, mais également jusqu’à présent, car nombre de réfugiés ivoiriens de retour au pays ont découvert que leurs terres avaient été vendues.
Au cours des dix dernières années, le pays a perdu 300 000 hectares de forêt par année, selon le coordonnateur du programme national de lutte contre le changement climatique.
« Ce qui est certain, c’est que tous les occupants illégaux seront expulsés d’ici 2015 », a déclaré le directeur de la Société de développement des forêts (SODEFOR). Mais où iront-ils s’interroge IRIN ?
Lien : IRIN, 26/11/13, Les forêts ivoiriennes rongées par les conflits fonciers
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