La mise en valeur des vallées de l’Ouémé, du Niger et du Mono avait été annoncée par le gouvernement béninois comme une réponse à la crise alimentaire. Ce projet, d’un montant de 12 milliards de FCFA, semble cependant se heurter à un double problème domanial et foncier, faisant face à la résistance des collectivités locales et des agriculteurs.