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Promoting coherence in agricultural policies
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Atelier régional de capitalisation des expériences réussies sur la construction et la gestion des marchés à bétail, les 27 et 28 juillet 2016 Bamako/Mali

L’objectif global de l’atelier est de permettre aux Coordinations Nationales du PRAPS et aux organisations professionnelles du secteur du bétail de discuter et de s’accorder sur certaines expériences de construction et de gestion des marchés à bétail mises en oeuvre avec succès, afin d’amener ces pays à adopter une démarche innovante, pratique et harmonisée dans le domaine de la construction et de la gestion des marchés.

Les objectifs spécifiques de l’atelier sont les suivants :

- Analyser des expériences présélectionnées pour faire ressortir les facteurs clés de leur succès, notamment par rapport (i) au choix des sites d’implantation, (ii) aux équipements et installations nécessaires au bon fonctionnement d’un marché à bétail (iii) à la conception et à la construction du marché, (iv) à la forme de la propriété de l’infrastructure, (v) aux arrangements institutionnels, règles et procédures de gestion des marchés à bétail.

- Définir une démarche commune de prise en compte de ces facteurs de réussite dans les investissements du PRAPS.

- Examiner les possibilités de mise en oeuvre opérationnelle de cette démarche harmonisée, en prenant en compte les risques liés aux spécificités des pays et aux réactions des acteurs déjà présents sur les marchés.


Le Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS) découle du Forum de Haut Niveau sur le Pastoralisme organisé à Nouakchott en octobre 2013 par la Banque Mondiale, le CILSS et le gouvernement Mauritanien. Il a pour objectif de développement « d’améliorer l’accès à des moyens et services de production essentiels et aux marchés pour les pasteurs et agropasteurs dans les zones transfrontalières sélectionnées et le long des axes de transhumance dans les six pays du Sahel et d’améliorer la capacité de ces pays à répondre à temps et de façon efficace en cas de crise pastorale ou d’urgence ». Financé par la Banque Mondiale pour un coût de 248 millions de dollars américains, ses interventions couvrent le Burkina Faso, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal et le Tchad.

Crédits: AK-Project