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Agriculture : Renforcer la croissance de la productivité agricole grâce à la coopération au niveau du G20 est essentiel pour nourrir 9 milliards de personnes

Les pays du G20 s’efforcent, au fil des présidences, d’améliorer la collaboration internationale en vue de renforcer la productivité et la durabilité du système agroalimentaire mondial. Étant donné que la croissance démographique et la hausse du pouvoir d’achat font augmenter la demande de produits alimentaires, et que la pression exercée sur nos ressources naturelles, notamment sur l’eau, s’accentue, nous n’avons pas le choix. Nous ne pouvons pas nous passer de manger.

Des résultats sont obtenus, mais d’après un nouveau rapport remis au Mexique, qui exerce actuellement la présidence du G20, par douze organisations internationales, il est possible et nécessaire de faire bien davantage. Intitulé « Croissance durable de la productivité agricole et combler le fossé pour les petites exploitations familiales », ce document dresse un bilan des actions entreprises depuis que la sécurité alimentaire et le développement ont été mis à l’ordre du jour au sommet de Séoul, en 2010, et que le Plan d’action du G20 a été lancé à celui de Cannes, en 2011. Il définit ensuite les actions supplémentaires qui pourraient être menées à moyen et long termes.

Les pays du G20 s’efforcent, au fil des présidences, d’améliorer la collaboration internationale en vue de renforcer la productivité et la durabilité du système agroalimentaire mondial. Étant donné que la croissance démographique et la hausse du pouvoir d’achat font augmenter la demande de produits alimentaires, et que la pression exercée sur nos ressources naturelles, notamment sur l’eau, s’accentue, nous n’avons pas le choix. Nous ne pouvons pas nous passer de manger.

Des résultats sont obtenus, mais d’après un nouveau rapport remis au Mexique, qui exerce actuellement la présidence du G20, par douze organisations internationales, il est possible et nécessaire de faire bien davantage. Intitulé « Croissance durable de la productivité agricole et combler le fossé pour les petites exploitations familiales », ce document dresse un bilan des actions entreprises depuis que la sécurité alimentaire et le développement ont été mis à l’ordre du jour au sommet de Séoul, en 2010, et que le Plan d’action du G20 a été lancé à celui de Cannes, en 2011. Il définit ensuite les actions supplémentaires qui pourraient être menées à moyen et long termes.

Coordonné par l’OCDE et l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture, en réponse à une demande de la présidence mexicaine du G20, ce rapport appelle les gouvernements des pays du G20 à stimuler l’innovation, notamment au moyen de la recherche, des transferts de technologies et de la prestation de conseils, dans l’ensemble du système agroalimentaire mondial, et à aider les pays en développement à surmonter les difficultés qui leur sont propres.

Selon ce rapport, la libre circulation des idées, des biens et des services entre les pays est un moteur important de l’innovation agricole et favorise l’adoption de solutions plus productives et plus durables. Il en ressort aussi que, pour attirer les investissements nécessaires et accélérer la croissance de la productivité dans le secteur, les pays doivent mettre en place un cadre institutionnel et des conditions de marché appropriés.

« Les pays du G20 représentent une très grande partie de la production agricole mondiale et ils ont une responsabilité particulière à assumer pour faire en sorte que le système alimentaire mondial reste prospère et dynamique », a déclaré Angel Gurría, Secrétaire général de l’OCDE. « Des actions importantes sont d’ores et déjà en cours et le moment est venu de s’atteler ensemble à une tâche exaltante : trouver le moyen d’améliorer encore l’efficacité de l’action publique. C’est précisément pour permettre une coopération volontaire de ce type que le G20 a été créé. »

Les organisations ayant collaboré à l’établissement du rapport sont : la Banque mondiale, Bioversity, la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED), le Consortium du CGIAR, l’Équipe spéciale de haut niveau des Nations Unies sur la crise mondiale de la sécurité alimentaire, le Fonds international de développement agricole (FIDA), l’Institut interaméricain de coopération pour l’agriculture (IICA), l’Institut international de recherche sur les politiques alimentaires (IFPRI), l’OCDE, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et le Programme alimentaire mondial des Nations Unies (PAM).

Source : OCDE

Crédits: AK-Project