Protéines durables, produits premium, technologies pour fluidifier la chaîne de production… Les start-up EntomoNutris, Jus Délice et Releaf parient (...)
«En mars 2019, la ferme de João Guerra située au centre du Mozambique a été frappée par le cyclone Idai. La tempête violente a détruit plus de 700 000 (...)
Dans le cadre de la mise en œuvre de sa politique agricole régionale, la CEDEAO a ouvert deux (2) chantiers hautement stratégiques. La première (...)
Le processus de la mondialisation, dans presque tous les domaines d’activités, notamment dans les secteurs de l’économie, du commerce international (...)
Le moment d'investir en Afrique, c'est maintenant". Tel est le message de la Banque africaine de développement (BAD) dans son rapport "Africa to Africa Investment, A first look".
Principale source d'emplois en Afrique, l'agriculture est paradoxalement le secteur où se concentre l'essentiel de l'emploi vulnérable. Comment alors corriger cette singularité handicapante quand on sait que l'accroissement de la main-d'œuvre en 2018 engendrera un million de chômeurs de plus pour la seule région de l'Afrique subsaharienne ?
Et si les nouvelles technologies pouvaient accompagner l'Afrique et en faire le « grenier du monde ». La question a fait l'objet d'échanges fructueux aux Africa Days organisés sur le campus de HEC à Jouy-en-Josas. Par Marlène Panara
Diversifier, industrialiser, moderniser l’agriculture, se désenclaver, favoriser l’intégration régionale et continentale, promouvoir le leadership féminin, appliquer les principes de bonne gouvernance, consolider la stabilité politique, affirmer sa présence sur la scène internationale.
Tel est le chemin que doivent emprunter les pays africains pour assurer leur autosuffisance alimentaire, sortir les zones rurales de la pauvreté et emprunter la voie de l’industrialisation, en vue de leur émergence économique.
Regroupant plus du quart du milliard de personnes souffrant de la faim dans le monde, l’Afrique sub-saharienne est l’une des régions les plus (...)
19 mars 2018, Libreville – La trentième Conférence régionale de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) pour (...)
Par Tsitsi Makombe, Senior Program Manager, IFPRI; Samuel Benin, Deputy Division Director, Africa Regional Office, IFPRI. With the Comprehensive (...)
Débat autour de la monnaie unique de la CEDEAO semble enfin sur les rails...
Le secteur bancaire en Afrique ne s’intéresse pas à l’agriculture de l’avis des producteurs agricoles qui dénoncent des difficultés d’accès au (...)
(Ecofin Hebdo) - C’était le plan d’actions agricoles le plus ambitieux de ces dernières années. En juillet 2003, à Maputo, au Mozambique, lors de la 2ème Assemblée de l’Union Africaine, les pays membres s’accordaient à mettre en œuvre le Programme détaillé de développement de l’agriculture africaine (PDDAA). Par cette feuille de route, les Etats s’engageaient à consacrer 10% de leurs dépenses publiques au secteur agricole ainsi qu’à atteindre une croissance agricole de 6% par an.
Avec la diminution de l’aide pour faire face à une liste croissante de problèmes dans les pays en développement, travailler de manière isolée pour (...)
Une revue des travaux de recherche sur les bienfaits des services d'information basés sur la technologie de la téléphonie mobile sur la vie des (...)
Introduction du Ministre de l'Agriculture et de l'Equipement Rural du Sénégal et Membre de l'Académie d'Agriculture de France, Mr Papa Abdoulaye Seck. Les grands piliers du développement agricole en Afrique de l’Ouest Le défi de la souveraineté alimentaire, la bataille du riz
Le président de la Banque a annoncé que la Banque organiserait le Forum de l’investissement en Afrique les 7 et 8 novembre 2018 à Johannesburg, en (...)
Côte d'Ivoire, La mise œuvre du deuxième Programme national d'investissement agricole (PNIA) de la Côte d’Ivoire, couvrant la période 2018-2025, va (...)